La directive prévoit
des normes de qualité des eaux douces
différentes de celles des eaux de mer
et généralement plus sévères
que celles fixées par la directive
précédente. Ces normes sont
basées sur des études montrant
qu'une eau respectant ces normes permet d'offrir
au public une baignade sans risque significatif
pour leur santé.
Le classement se fait par une méthode statistique sur la base des analyses réalisées pendant 4 années consécutives.